The subaltern Ulysses
In 1935, John Eglinton published an account of Joyce in Irish Literary Portraits. It must have seemed to Joyce, wrote Eglinton, ‘that he held English, his country’s spiritual enemy, in the palm of his hand’. Alas, the English language ‘found itself constrained by its new master to perform tasks to which it was unaccustomed in the service of pure literature. . . . Joyce rejoiced darkly in causing the language of Milton and Wordsworth to utter all but unimaginable filth and treason.’
Andrew Gibson
« En 1935, John Eglinton publia un compte rendu sur Joyce dans Portraits littéraires irlandais. Il doit avoir semblé à Joyce, écrivait Eglinton, ‘qu’il tenait l’Anglais, l’ennemi spirituel de son pays, dans la paume de sa main’. Hélas, la langue anglaise ‘se trouvait contrainte par son nouveau maître à exécuter des tâches auxquelles elle n’était pas habituée dans le service de la littérature pure…. Joyce se réjouissait sombrement en faisant prononcer à la langue de Milton et Wordsworth toute l’obscénité et trahison inimaginable.’ »